Bougeoir

35,00 €

Une flamme pour se souvenir 🩵

Découvrez notre bougeoir en porcelaine issu d'une collaboration exclusive entre “ORA - Écouter nos morts” d'ISOLA et Frizbee Ceramics. Chaque pièce est soigneusement émaillée à la main avec des motifs éthérés uniques.

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Le projet ORA :

"ORA - Écouter nos mort·es" donne parole aux morts et aux mortes à travers celles et ceux qui vivent encore.

Dans notre société occidentale, la mort est taboue : on la cache derrière les portes des hôpitaux ou des maisons de repos, on construit les cimetières hors des villes et on tait son nom. Cette conception désenchantée de la mort est à la fois récente dans notre histoire et minoritaire dans le monde. Pourtant, elle s'est imposée avec une telle force qu'elle est devenue, pour beaucoup d'entre nous, une certitude. Pour celles et ceux qui vivent la perte d’un être cher, il faut continuer à vivre et, pour cela, les mort·es devraient disparaitre. Comme si la frontière était nette, tangible, infranchissable. Pourtant, des vivant·es résistent, des mort·es aussi. Des papillons, un parfum ou une musique : nos mort·es se frayent un chemin jusqu’à nous. Iels traversent nos quotidiens et nous rendent visite pendant nos rêves. Iels nous parlent, nous guident, nous protègent et nous consolent. Et si au lieu d'avoir peur on laissait les portes et fenêtres grandes ouvertes pour laisser à nos défunt·es le luxe de pouvoir entrer et sortir comme iels le désirent, puisqu’iels ne nous ont jamais vraiment quittés ?

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"ORA - Écouter nos mort·es" donne parole aux morts et aux mortes à travers celles et ceux qui vivent encore.

Dans notre société occidentale, la mort est taboue : on la cache derrière les portes des hôpitaux ou des maisons de repos, on construit les cimetières hors des villes et on tait son nom. Cette conception désenchantée de la mort est à la fois récente dans notre histoire et minoritaire dans le monde. Pourtant, elle s'est imposée avec une telle force qu'elle est devenue, pour beaucoup d'entre nous, une certitude. Pour celles et ceux qui vivent la perte d’un être cher, il faut continuer à vivre et, pour cela, les mort·es devraient disparaitre. Comme si la frontière était nette, tangible, infranchissable. Pourtant, des vivant·es résistent, des mort·es aussi. Des papillons, un parfum ou une musique : nos mort·es se frayent un chemin jusqu’à nous. Iels traversent nos quotidiens et nous rendent visite pendant nos rêves. Iels nous parlent, nous guident, nous protègent et nous consolent. Et si au lieu d'avoir peur on laissait les portes et fenêtres grandes ouvertes pour laisser à nos défunt·es le luxe de pouvoir entrer et sortir comme iels le désirent, puisqu’iels ne nous ont jamais vraiment quittés ?

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Dans notre société occidentale, la mort est taboue : on la cache derrière les portes des hôpitaux ou des maisons de repos, on construit les cimetières hors des villes et on tait son nom. Cette conception désenchantée de la mort est à la fois récente dans notre histoire et minoritaire dans le monde. Pourtant, elle s'est imposée avec une telle force qu'elle est devenue, pour beaucoup d'entre nous, une certitude. Pour celles et ceux qui vivent la perte d’un être cher, il faut continuer à vivre et, pour cela, les mort·es devraient disparaitre. Comme si la frontière était nette, tangible, infranchissable. Pourtant, des vivant·es résistent, des mort·es aussi. Des papillons, un parfum ou une musique : nos mort·es se frayent un chemin jusqu’à nous. Iels traversent nos quotidiens et nous rendent visite pendant nos rêves. Iels nous parlent, nous guident, nous protègent et nous consolent. Et si au lieu d'avoir peur on laissait les portes et fenêtres grandes ouvertes pour laisser à nos défunt·es le luxe de pouvoir entrer et sortir comme iels le désirent, puisqu’iels ne nous ont jamais vraiment quittés ?